Chroniques

Genesis Seconds Out

Le Rock au cinéma # 7
Genesis Seconds Out
Publié le 27 novembre 2020

Recherche par René Maranda

 

Genesis Seconds Out
Film-documentaire de : Tony Maylan  28 min.
Date de sortie : 1977
Avec : Tony Banks, Phil Collins, Steve Hacket, Mike Rutherford, …

 En direct au Moody Coliseum, University Park, Dallas, Texas, le 19 mars 1977.  Lors de leur tournée, Genesis décida d’opter pour le meilleur spectacle de lumières imaginable, abandonnant les projections qu’ils avaient utilisées dans le passé.

Le résultat a été stupéfiant. La vue de ces cinquante phares d’atterrissage pour avions géants, allumés en même temps ou clignotant en rythme avec la musique, où les nouveaux effets laser étonnants a laissé le public stupéfait et ravi et sans aucun doute sur le fait qu’il s’agissait bien d’un groupe de classe mondiale. Ils étaient également devenus une tenue très serrée et le spectacle a été enregistré pour une sortie officielle, qui ne s’est jamais matérialisée.

Le son de Seconds Out :

 Le son de Seconds Out transmet une remarquable sensation d’espace; il est éthéré dans les moments les plus calmes. Le mix original a été fréquemment critiqué car les parties de guitare de Hackett ne sortaient pas et la voix de Collins était plutôt en arrière-plan, ce qui n’aidait ni l’audibilité des paroles ni la présence émotionnelle des voix.

 À ce jour, il y a une légende selon laquelle le groupe a «mélangé» Hackett «hors de la production» de Seconds Out quand ils ont découvert qu’il partait. Il faut dire, cependant, que les sons de guitare qu’il utilisait alors sont souvent très difficiles à distinguer des sons de clavier de Banks.

 L’équipement des banques de l’époque respire la brillance et la chaleur vives. Ses sons caractéristiques sont des mondes en dehors des préréglages stériles qu’il utiliserait plus tard. La basse de Rutherford est également agréablement forte sans être trop puissante.

 Les tambours sonnent de manière transparente et complexe, ce qui est très important pour les moments où les deux batteries sont jouées simultanément et toujours terre-à-terre. Il est assez remarquable de voir à quel point l’auditeur peut distinguer les kits de batterie par les différences de matériau et de taille des tambours et des cymbales.

 Grâce au bon mixage stéréo, il est facile de localiser les positions des batteries, en particulier dans les passages instrumentaux où les deux jouent.

 Commentaire d’un inconnu :

 – Magnifiques images d’une époque qui ne sera plus jamais. Belle compilation de pistes de synchronisation. Collins, batterie, innovante et unique, Banks, oh mon Dieu, Amadeus ! Rutherford, les meilleurs pieds qui aient jamais touché un ensemble de Moog Taurus.

 

BANNIÈRE: THOMAS O’SULLIVAN
WEBMESTRE: STEVEN HENRY
RÉDAC’CHEF : MURIEL MASSÉ
ÉDITEUR: GÉO GIGUÈRE

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