Les pochettes # 1
Par René Maranda
1 – Wish You Were Here – Pink Floyd
La pochette et la conception artistique de Wish You Were Here comptent parmi les plus complexes des albums du groupe. Storm Thorgerson a suivi Pink Floyd lors de la tournée 1974 et a longuement réfléchi aux paroles de Waters, concluant que les chansons tournent autour d’une idée de « présence inaccomplie », plutôt que la maladie de Barrett.
2- 1er Album – Black Sabbath
La maison que l’on peut voir sur la couverture de l’album est le moulin à eau de Mapledurham situé sur la Tamise dans le comté du Berkshire11.
Anecdote qui a contribué au succès du groupe et du disque : il semblerait que lorsque la photo de la pochette fut prise, la femme étrange (sorte de Mona Lisa gothique) ne fut pas là et qu’elle n’eût fait son apparition que lors du développement des photos [source insuffisante]?
Une croix inversée figure à l’intérieur de la pochette double de l’édition vinyle. Elle contient un poème intitulé « Still Falls the Rain » et les crédits de l’album. Dans ce poème, d’un auteur inconnu, il y est fait allusion d’une jeune femme aux yeux vides qui croit ne pas être vue, peut-être est-ce la femme de la pochette.
3 – Physical Graffiti – Led Zeppelin
La pochette originale du vinyle possédait des fenêtres découpées dans l’immeuble représenté sur la couverture. Dès que les protections intérieures des disques changeaient d’orientation, des objets ou personnages apparaissaient dans ces fenêtres, incluant entre autres les photos des membres du groupe. Les deux immeubles photographiés sur la couverture sont les 96 et 98 de la rue St. Mark’s Place à New York. Il s’agit du même immeuble que celui utilisé pour le clip vidéo de la chanson Waiting On A Friend des Rolling Stones.
4- Moving Pictures – Rush
La couverture a été conçue par Hugh Syme, qui a estimé que l’œuvre d’art coûtait 9 500 $ à produire. Anthem Records a refusé de couvrir l’intégralité de la facture, laissant le groupe payer le reste. C’est une triple intention ; le devant représente des déménageurs qui portent des photos. Sur le côté, les gens pleurent parce que les images qui passent sont « en mouvement » émotionnellement. Enfin, la couverture arrière a une équipe de tournage qui réalise un film de toute la scène. Il a été photographié à l’extérieur du Palais législatif de l’ Ontario à Queen’s Park.
5 – Destroyer – Kiss
La couverture de l’album Destroyer a été peinte par l’artiste Ken Kelly. Avant que l’album ne sorte, son travail avait été montré à Gene Simmons qui avait voulu s’entretenir avec lui pour discuter de la pochette de Destroyer. Kelly avait accepté, mais avait demandé à voir Kiss en concert avant, pour s’en inspirer. Kelly avait donc été invité à un concert de Kiss avec un laissez-passer. Il a dit plus tard de la performance : « It blew me away » (« Ça m’a coupé le souffle. »). KISS lui a plus tard demandé de travailler sur la pochette de Love Gun, sorti en 1977.
WEBMESTRE: STEVEN HENRY
ÉDITEUR: GÉO GIGUÈRE

larry todd
24 février 2020 at 6:12 PM
Bravo René Maranda,,appui et back-up au rendez-vous,,a plus,,,,