New Mistakes (2017)
Terra Lightfoot
Hamilton, Ontario
Sonic Unyon – SUN162
Durée : 44 minutes
7.5/10
Par Jacques Dulac
‘ L’une des artistes canadiennes les plus intéressantes des dernières années.’’
La très talentueuse Terra Lightfoot nous offre un convaincant troisième effort. C’est avec une écriture solide qu’elle nous propose New Mistakes qui je dois dire est très accrocheur dès les premières écoutes. Avec des riffs de guitare qui n’ont rien à envier à John Fogerty, l’album est aussi parsemé d’excellentes balades… Terra démontre qu’elle est une guitariste accomplie autant sur l’acoustique que l’électrique. Et que dire de sa voix puissante avec un accent de soul qu’elle maîtrise parfaitement.
L’album qui se veut très solide et inspiré contient de véritables gemmes musicales. En ouverture, on a droit à la pop et rock, Paradise qui est le premier extrait paru. Stars over Dakota et Slick back kid qui sont résolument plus rock démontrent la solidité de son matériel qui est très bien arrangé musicalement. Je dois dire qu’elle est très bien soutenue par un groupe de musiciens solides. Avec Ruthless et You get high, Terra démontre son talent pour les mélodies accrocheuses et planantes.
Avec New Mistake, Terra met vraiment le pied à terre et montre qu’elle est l’une des artistes canadienne les plus intéressantes des dernières années. Non le rock n’est pas mort et on a la démonstration avec cet excellent opus. L’une de mes belles découvertes de 2017. À se procurer absolument!
- Paradise
- Pinball king
- Ruthless
- You get high
- Stars over Dakota
- Norma Gale
- Hold you
- Slick back kid
- Drifter
- Two hearts
- Three in the morning
- Lonesome eyes
Liens pour écouter
Paradise :
You get high :
Site Internet de Terra Lightfoot : http://terralightfoot.com/
Pour se procurer l’album :
Chez tout bon disquaire et http://sonicunyon.limitedrun.com/products/599149-terra-lightfoot-new-mistakes
Sylvain Chartrand
20 novembre 2017 at 6:36 PM
Terra Lightfoot hum… avec ce talent on pourrait croire quelle est la fille de Gordon ;o)
La jeune ontarienne nous démontre que le rock n’est pas mort. J’aime beaucoup.
Geo Giguere
10 novembre 2017 at 8:26 PM
Bravos Jacques Dulac, très bonne analyse!