Ace Frehley Origins Vol. 1
Article paru en 2016, Pop Rock 2.0
6/10
Republié le 12 octobre 2020
Personnellement, je n’ai jamais été vraiment fan d’Ace Frehley, mais j’ai toujours respecté le musicien qui par le passé donnait un show qui alliait son et images. Sur Origins, le guitariste ne réinvente absolument rien musicalement mais nous fait toute une démonstration de Guitare Rock 101. Sans être le musicien du siècle, il met ses tripes sur la table avec une belle exécution technique et des solos inspirés et avec du mordant.
L’album est composé entièrement de reprises de classiques du rock ainsi que trois vieilles pièces de Kiss. White Roomde Cream, Street Fighting Man des Stones (qui lui va comme un gant), Emerald de Thin Lizzy avec comme invité Slash qui nous offre un excellent duel de guitares avec Frehley et Cold Gin de Kiss sont parmi les plus réussies. Même que Paul Stanley fait une apparition sur Fire and Water de Free. En contrepartie, certaines pièces sont moins convaincantes ou n’ont pas vraiment leur raison d’être. Un défaut qui me tique à l’oreille par endroit, c’est le jeu un peu unilinéaire du batteur même s’il est excellent… j’aurais très bien vu Tommy Lee ou même son vieux pote Peter Criss derrière l’instrument.
Un album en dents de scie mais qui prend tout son sens à haut volume et au volant de sa voiture!
Transfert # 27
BANNIÈRE : STEVE PEARSON
ÉDITEUR : GÉO GIGUÈRE
RÉVISEUR : MURIEL MASSÉ
SECRÉTAIRE À LA RÉDACTION : RENÉ MARANDA
Geo Giguere
13 octobre 2020 at 4:27 PM
L’album est composé entièrement de reprises de classiques du rock ainsi que trois vieilles pièces de Kiss. White Roomde Cream, Street Fighting Man des Stones (qui lui va comme un gant), Emerald de Thin Lizzy avec comme invité Slash qui nous offre un excellent duel de guitares avec Frehley et Cold Gin de Kiss sont parmi les plus réussies. Même que Paul Stanley fait une apparition sur Fire and Water de Free. En contrepartie, certaines pièces sont moins convaincantes ou n’ont pas vraiment leur raison d’être. Un défaut qui me tique à l’oreille par endroit, c’est le jeu un peu unilinéaire du batteur même s’il est excellent… j’aurais très bien vu Tommy Lee ou même son vieux pote Peter Criss derrière l’instrument!