Album chef-d’œuvre # 7
Sorti le 30 avril 1971
Publié le 27 avril 2020
Vues 1400
Republié le 1 mai 2021
Le batteur de The Who, Keith Moon, a payé neuf chauffeurs de taxi pour bloquer les deux extrémités d’une rue de New York afin qu’il puisse jeter le contenu de sa chambre d’hôtel par la fenêtre.
L’album Who’s Next du groupe The Who
Il comprend plusieurs titres qui ont connu le succès dans les hit-parades, comme Won’t Get Fooled Again,Baba O’Riley et Behind Blue Eyes. Il est classé 28e au classement Rolling Stone des 500 meilleurs albums de tous les temps.
Certaines chansons, dont Baba O’Riley, devinrent des classiques pour les radios FM américaines et furent diffusées de nombreuses fois. Cet album a un ancrage très particulier dans la culture populaire ; certains titres servent de bande originale à des films ou à des séries télévisées. Les exemples les plus typiques en sont les séries américaines Miami et Manhattan, dont les génériques sont accompagnés respectivement de Won’t Get Fooled Again et Baba O’Riley.
La photo de couverture a été prise par Ethan Russell ; il faisait référence au monolithe dans le film de 1968 2001 : A Space Odyssey, car il présentait des membres du groupe debout près d’un pieu en béton dépassant d’un tas de scories ayant apparemment uriné contre lui.
Album original
Face 1
Baba O’Riley – 5:07
Bargain – 5:34
Love Ain’t for Keeping – 2:11
My Wife (John Entwistle) – 3:41
The Song Is Over – 6:16
Face 2
The Song Is Over – 6:16
Getting in Tune – 4:49
Going Mobile – 3:43
Behind Blue Eyes – 3:45
Won’t Get Fooled Again – 8:33
Commentaires de nos membres
– 5/5 pour moi ….Toutes les chansons sont excellentes
– 5/5 haut la main. Les Who au sommet de leur puissance sonore, de leurs possibilités instrumentales et Townshend, au meilleur de sa créativité. Avec des audaces sur le plan technologique (l’utilisation encore assez rare alors des synthétiseurs dans un format totalement rock qui cite pourtant très librement Terry Riley) des velléités d’innovation, avec ce concept initial de Lifehouse, qui voulait que le groupe organise et soit au cœur d’une expérience de be-in multimedia avant la lettre, et dont le script anticipait avec beaucoup de clairvoyance l’évolution de l’humanité telle que nous la connaissons aujourd’hui, avec notamment l’internet. Vite fichu à la corbeille pour cause d’une complexité telle que personne hormis Townshend n’y avait compris grand-chose, le projet Lifehouse a laissé place à l’enregistrement d’un album simple, mais composé de grandes chansons qui constituaient l’équilibre idéal entre les déflagrations sonores que l’on connaissait des Who sur scène, avec une science mélodique jamais démentie. Chaque chanson ici est remarquable, c’est donc pour moi un authentique chef d’œuvre !
– Même après 1 million d’écoutes en ce qui me concerne: 5/5 et j’ajouterais 6/5 !!!!
– Un gros 5. Cet album marque un changement de son et un côté plus rebelle !!!!
– Oui, oui Pas une ride ! 5 sur 5. 10-4 En bonus, les Who jouent encore ces pièces sur scène, sans aucune baisse d’énergie. Qui l’eût cru il y a 50 ans ? Lisez l’autobiographie de Roger Daltrey; ça vaut le détour (sans jeu de mots, même si le groupe s’appelait à l’origine The Detours haha !).
WEBMESTRE: STEVEN HENRY
ÉDITEUR: GÉO GIGUÈRE
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