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Dernière Heure #259
En direct de la salle de nouvelles de Famille Rock!
Publié le 3 avril 2025

Par André Thivierge, chef des nouvelles de Famille Rock

La distribution et la date de sortie des 4 biopics des Beatles maintenant connus

John Lennon, Paul McCartney, Ringo Starr, George Harrison : les quatre biopics attendus sur chaque membre des Beatles devraient sortir lors du même mois, en avril 2028, a annoncé le réalisateur Sam Mendes au salon CinemaCon de Las Vegas.

« Chacun d’eux est raconté du point de vue particulier d’un seul d’entre eux. Ils se croisent de différentes manières – parfois en se chevauchant, parfois non », a expliqué lundi le cinéaste britannique.

« Cela faisait des années que j’essayais de faire un film sur les Beatles, mais j’avais temporairement abandonné », a expliqué le réalisateur, oscarisé en 2000 pour American Beauty. J’avais le sentiment que l’histoire du groupe était trop vaste pour tenir dans un seul film, et que la transformer en minisérie télévisée n’était pas une bonne idée », a-t-il ajouté.

Les « quatre garçons dans le vent » seront incarnés par Paul Mescal (McCartney), Harris Dickinson (Lennon), Barry Keoghan (Starr) et Joseph Quinn (Harrison).

Le tournage est sur le point de commencer et devrait durer plus d’un an. L’ordre exact dans lequel les films sortiront pendant le même mois n’a pas encore été révélé par Sony Pictures, aux commandes du projet. (Source : AFP)

Yes travaille sur un 3e nouvel album depuis 2021

Yes est en train d’enregistrer son troisième album en moins de cinq ans, confirme le claviériste Geoff Downes. Avant cette récente explosion de créativité, le groupe n’avait sorti que trois projets en studio depuis 2000.

« Nous travaillons sur un album depuis six mois », a déclaré Downes en entrevue. Steve [Howe] est aux commandes et je pense que l’album sortira dans le courant de l’année.

Au départ, on ne savait pas si Yes retournerait en studio après Heaven and Earth de 2014, le dernier album de Yes sorti avant la mort du bassiste Chris Squire en 2015. Puis Howe a produit deux nouveaux albums coup sur coup, The Quest en 2021 et Mirror in the Sky en 2023. Les deux ont été classés dans le Top 30 des hits britanniques.

Bachman Turner Overdrive lance un premier simple en 25 ans avec en prime Neil Young à la guitare

Bachman-Turner Overdrive est de retour avec « 60 Years Ago », un simple qui contient un solo de guitare de Neil Young.

Reprenant là où le BTO classique s’est arrêté il y a près de 50 ans en termes de sonorité, « 60 Years Ago » est ce que le cofondateur Randy Bachman appelle, dans un communiqué, « notre hommage à Winnipeg, l’endroit où nous avons grandi en tant qu’adolescents dans les années 1960, à une époque où la scène musicale de la ville était en pleine explosion. C’était le Liverpool de l’Amérique du Nord, un creuset de talents incroyables ». Neil Young participe à un solo de guitare et Fred Turner, ancien membre de BTO, qui ne fait pas partie de la formation actuelle, ajoute son chant guttural caractéristique.

Ce n’est pas la première fois, loin s’en faut, que Young et Bachman s’associent musicalement. Adolescents, ils se sont connus à Winnipeg au début des années soixante. Bachman a raconté que Young l’avait soutenu après qu’il a quitté les Guess Who en 1970 et qu’il ne savait pas trop quoi faire ensuite. Selon Bachman, Young a aidé le premier groupe de Bachman après les Guess Who, Brave Belt, à décrocher un contrat avec Warner Brothers.

BTO a connu son heure de gloire sur les radios rock au milieu des années soixante-dix, grâce à des titres comme You Ain’t Seen Nothin’ Yet, Takin’ Care of Business et Let It Ride. Neil Young a rejoint Bachman pour deux versions, acoustique et électrique, d’une chanson des années 1990 de Bachman, Prairie Town, et a participé à un documentaire sur Bachman en 2019.

Il y a deux ans, Bachman a redonné vie à BTO, avec une formation comprenant son fils Tal à la guitare et sa belle-fille, KoKo Bachman, à la batterie. (Source : Rolling Stone Magazine)

Les Who de retour live pour un concert de bienfaisance

Le concert de bienfaisance de The Who au Royal Albert Hall a vu la première interprétation live de Love Ain’t for Keeping depuis 21 ans.

Jeudi, The Who ont donné leur premier concert de l’année 2025 au Royal Albert Hall de Londres, dans le cadre des concerts de bienfaisance du Teenage Cancer Trust. Il s’agissait de leur premier concert depuis le même événement il y a un an, et du lancement du nouveau groupe de Roger Daltrey et Pete Townshend, qui ne compte plus que le batteur Zak Starkey, le guitariste Simon Townshend, le bassiste Jon Button, le choriste John Hogg et le claviériste/choriste Loren Gold. (Ces dernières années, ils ont tourné avec un plus grand nombre de musiciens, généralement rejoints par un orchestre local).

La liste de chanson se concentre sur des classiques des Who comme I Can’t Explain, Who Are You et Baba O’Riley, mais aussi sur des morceaux moins connus comme Tea and Theatre, Bargain et Love Ain’t for Keeping. Cette dernière chanson n’a été jouée qu’en 2004. Avant cela, ils n’avaient pas joué la chanson de Who’s Next depuis leur tournée d’adieu en 1982.

Aucune vidéo de Love Ain’t For Keeping n’a encore fait surface en ligne, mais il y a de superbes images de The Real Me et 5:15 depuis le premier rang de la salle. Un fan situé un peu plus loin a filmé I Can’t Explain, Substitute et Who Are You.

Quelques jours avant les répétitions, Townshend a déclaré qu’il était un peu mal à l’aise en pensant au spectacle : « Je n’ai aucune idée de ce que ça va donner. En fait, je suis nerveux. Et je pense que Roger l’est aussi. Nous sommes tous deux octogénaires. J’aurai 80 ans en mai. Et je viens de subir une greffe du genou, ce qui n’a rien à voir avec le fait d’être jeune ou viril. C’était à cause d’un accident survenu il y a des années… Ce genre de choses devient plus difficile avec l’âge. Il est plus difficile de se remettre d’une opération chirurgicale, de se remettre de la prise d’une grande quantité de codéine et de tout ce qui s’ensuit, le brouillard cérébral qui en découle. »

À ce stade, il ne savait pas exactement quelles chansons ils allaient interpréter. « Nous avons une liste de chansons. Nous les regardons et je demande : “Lesquelles sont les plus faciles à jouer ?”. Mais c’est complet. Je pourrais monter sur scène et jouer sur un putain de kazoo. J’ai gagné de l’argent pour l’association. » (Source : Rolling Stone Magazine)

 

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BANNIÈRE: THOMAS O’SULLIVAN
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ÉDITEUR: GÉO GIGUÈRE

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